Après trois années de vie parisienne, on se prend parfois à subir l’influence de cette ville et à céder à son coté obscur, hanté par la routine du quotidien : transports bondés, vie chère, rythmée par un métronome qui semble battre plus vite qu’en province, omniprésence d’images marketing agressives,…
Paris est grise, sale, oppressante.
Voir Paris à travers un objectif m’a fait redécouvrir ses grands espaces déserts au petit matin, la pureté de la lumière au lever du soleil après une nuit sans nuages, sa diversité graphique, architecturale et ethnique. Une richesse qui est son coté lumineux, hors du temps, mystérieux.
Paris est belle, vivante, vibrante.